Les Chamois Reborn 2017
Article mis en ligne le 11 juillet 2017
dernière modification le 4 octobre 2017

par André

Les Chamois 2017

Michel avait fait les Chamois en 1967, cinquante ans déjà !
Donc pour lui il n’était pas question de manquer ce jubilé, il nous a donc incité à participer à cette grande manifestation.
Nous devions partir 5, nous partiment 4, un petit jeune souffrant n’ayant pu rejoindre le départ.
Départ d’Ermont le vendredi matin direction le périphérie sud-est de Lyon, ou nous attendait le frère de Dominique et son épouse.
Dominique était hébergé par sa famille et nous avions prévu une nuit à l’hôtel pour les trois autres.
Que dire du trajet ! Nous sommes partis avec un ciel voilé, nous avions prévus de rouler sur petites routes et nationales, la météo ne l’entendait pas de cette oreille.
Après le déjeuné à l’entrée d’Auxerre, nous avons eu droit à de la pluie, des orages, des trombes d’eau, une toute petite éclaircie, encore de la pluie et des trombes d’eau.
Nous avons décidés, la mort dans l’âme de prendre l’autoroute, la seule solution pour arriver à peut prés dans les temps à Lyon, ou nous avons eu un superbe accueil de la part de la famille de Dominique.
Le samedi, nous avons eu la surprise pour ceux qui étaient à l’hôtel, d’être attendu par un tacot, imaginez, trois motards avec tout le barda, véhiculé dans un tacot cheveux au vent, par un chauffeur hilare, moustache au vent et casquette à l’envers, comme il se doit sur ce genre de véhicule, nous ne sommes pas passés inaperçus !
Après un petit déjeuné copieux, le rangement de tout son barda par Michel, nous sommes enfin repartis vers Val d’Isère en passant par les petites routes pour rejoindre Chambéry.
Lors du déjeuné nous avons fais le point et la encore contraint de rejoindre l’autoroute jusqu’à Albertville si nous voulions arriver avant la nuit.
Trop fatigués à l’arrivé à Val d’Isère pour rejoindre les Chamois, nous avons pris l’option hôtel direct.
Petit regret nous avons raté la monté du col de l’Iseran, petit soulagement nous avons échappé avec un BMW de 1961 à une montée de l’Iseran entourée de 350 moto.
Mais nous l’avons fais le lendemain, le dimanche avec une balade organisée mais cette fois avec roadbook ou chacun roulait à son rythme, 240 kilomètres tout de même.
Nous avons repris la route du retour le lundi matin, il était prévu de rouler ensemble jusqu’à Lyon, ensuite je quittais les copains pour un retour rapide vers Paris, les autres se dirigeant vers Saulieu ou des balades dans le Morvan les attendais.
J’ai écris il était prévu, car quelques kilomètre après le départ, ma Calif s’est prise pour une Anglaise et commençait à faire reluire d’huile ma botte gauche. Petit arrêt, grosse frayeur, au départ on pouvait penser que c’était le joint de culasse, en y regardant de plus près, il en était rien et c’était ce bo..el de pu..in de joint de couvre culasse qui avait lâché, moins de 15 jour après une révision.
Donc resserrage un peu afin de vérifier les dégâts après quelques kilomètres, bon cela pouvait être pire, décision d’aller tout de même jusqu’à Lyon, la on verrait.
Cela à été tout vue, la moto chez un membre de ma famille habitant en périphérie de Lyon et rapatriement à Paris en TGV.

Pour le reste du périple dans le Morvan, je vais laisser Dominique vous faire un récit de leurs balades.

André

Les photos de DOMI


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